L'Echiquier
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 Histoire de l'alliance

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AuteurMessage
Esmeràlda
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Esmeràlda


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MessageSujet: Histoire de l'alliance   Histoire de l'alliance Icon_minitimeDim 6 Avr - 23:38

Voici le comment et le pourquoi de la création de l'Echiquier :




Nous devons le faire, nous le devons…

Je n’ai pratiquement plus de force, je ne peux continuer cette ascension, le combat contre ces monstres m’a amoindris à un point que je ne peux presque plus mettre un pied devant l’autre. Un nain ne peut menait une ascension comme celle-ci lorsqu’il est attaqué par des monstres qui font trois fois, voire cinq fois sa taille ! Heureusement que je suis très habile avec ma hache et que je m‘en suis débarrassé avec brio, hé hé hé… Cependant, je ne peux lutter plus longtemps devant ce sommeil qui m’appelle inlassablement pour me revitaliser depuis trop longtemps…

Tu peux tenir, non, tu dois tenir ! Tu n’a tout de même pas fait toute cette route pour rien ? Tu peux toujours faire demi-tour si le cœur t’en dit, mais je t’assure que tu louperas quelque chose que tu regretteras toute ta vie si tu le fais ! Tu peux encore puiser dans tes dernières réserves, les derniers retranchements de ton esprit qui soient encore pleinement opérationnels pour grimper jusqu’en haut de cette montagne ! Et veux tu vraiment qu’un nain sa fasse battre par un elfe au jeu de l’ascension d’une montagne ?

Arf ! Ce n’est pas aujourd’hui qu’un elfe en tutu va me distancer dans n’importe quel domaine, soit en sûr mon vieux ! Ne t’inquiètes pas, je rigolais quand je disais que je n’avais plus de force… Un nain en a toujours quelque part en lui !

Et bah voilà ! C’est bien toi Heinek que je viens de retrouver ici… Repenses donc à ce que ce vieux moine m’a sans cesse rabâché durant mon enfance : « La vérité sur ta destiné tu veux posséder, jusqu’au au sommet de cette montagne tu dois grimper, pour qu’enfin soit levé, le voile de la vérité… »


Antoine était en train d’escalader avec détermination le mont Keartan accompagné de son amis et compagnon Heinek. Ils l’escaladaient pour une seule chose, le connaissance sur leurs avenirs. Un vieux moine âgé d’à peu près cinq cents ans lui avait épilogué mainte et mainte fois une légende qui disait que de nombreux seigneurs aussi courageux et fort les uns que les autres avaient gravis cet énorme caillou d’au moins six milles mètres pour connaître leur prédestiné. Il lui avez aussi raconté, qu’arrivé au sommet, une grotte s’offrirait à eux sertie de milliers de pierres précieuses et de trésors mais aussi d’une odeur extra-ordinaire que nul être humain ne pouvait quitter sans y perdre le goût à la vie. Heureusement qu’Heinek et Antoine n’étaient pas humain !

De nombreux dangers et obstacles s’étaient présentés sur le chemin de nos deux héros, ils avaient réussis à les éviter ou alors à les détruire non sans mal et sans séquelles. Tel avait était le cas pour Heinek qui avait dû encaisser un coup de masse dans les côtes juste avant qu‘il coupe la tête d‘un troll des montagnes. Heinek était le célèbre nain et compagnon d’Antoine dans ses diverses quêtes, une force herculéenne se laissée deviner lorsque l’on s’approchait trop près de lui, de ses puissants biceps de nain et de sa hache qu‘il portait toujours à disposition pour d‘éventuels cas comme ceux-ci. Il était blanc de peau, mais il bronzait à une vitesse fulgurante, l’altitude rendait sa peau encore plus dorée qu‘elle ne l‘était déjà. Heinek était un seigneur nain connu et respecté, fier de ses origines, il ne perdait pas une occasion pour venter les mérites et les talents de son peuple. Antoine, lui, était un elfe. Il était assez fin mais d’une force aussi incroyable et redoutable qu’invraisemblable ! Il portait sur lui une armure aussi légère et confortable qu’une simple chemise ; pour vous dire, elle avez était conçu par des mains d’elfes. Il était beau, grand, et intelligent, entretenant son savoir comme l’on cultive son jardin.

Après une luttes acharnée contre les éléments et soi-même, les deux êtres arrivèrent bientôt à la grotte. Une certaine émotion emplit alors le cœur d’Antoine, il allait enfin savoir quel serait son avenir, sa destiné. Il s’approcha de la grotte, suivit de près par Heinek qui avait dégainé sa hache et qui avait oublié, le temps d’un instant, toutes ses blessures tant l’excitation et le suspense étaient à son comble !


Attend !!! L’odeur, enfin le parfum, dit Antoine en reculant tout de suite d’un pas en repensant à ce que lui avait dit l’homme religieux. Tiens, prends donc ce « bouche nez » et ne respires que par la bouche. C’est extrêmement dangereux, comme le chant des sirènes en quelques sorte !

Heinek pouffa de rire en entendant la voix d’Antoine : Chaque P devenait un B et chaque T devenait un D.

Ils pénétrèrent dans l’excavation et au plus grand déplaisir d’Antoine, les différents trésors cités par le moine n’y étaient pas. Ce n’était qu’une légende après tout… songea Antoine. Mais alors, si ce n’était qu’une légende, peut-être qu’il n’y avait pas non plus de destiné ainsi que toutes les choses que lui avait dit le religieux. Une certaine peur mélangeait à de la colère emplit le cœur d’Antoine, et si ils avaient fait tout ce chemin pour rien, laissant leurs royaumes à la merci de nombreux dangers sans roi… Si tel était le cas alors le vieux moine paierait le prix fort ! Antoine tenta le tout pour le tout, il laissa tomber son « bouche nez »… Rien, aucunes senteurs n’atteignirent ses naseaux. Il était de plus en plus sceptique, presque déçu comme à un enfant à qui l‘ont aurait promis une chose mais qui en réalité n‘était rien d‘autre qu‘un gros et vilain mensonge. Une soudaine colère le fit pousser un juron, le nain le regarda amusé par ce qu’il venait d’entendre.

Antoine - frappant dans un caillou sur le sol qui par ailleurs lui fit mal aux orteils - et son compagnon de voyage rebroussèrent chemin sans plus tarder pour établir un feu et un lit de camps, ils repartiraient le lendemain matin, à l’aube. Lorsque que tout à coup, une lumière intense naquit dans l’ombre. Émerveillaient les deux rois se précipitèrent vers cette illumination, plus ils s’approchaient, plus tout devenait clair aux yeux d’Antoine et d’Heinek. Arrivé près d’un rocher en marbre haut d’environ un mètre de haut, la lumière s’éteignit d’un coup, puis elle revint mais cette fois ci, moins intense. En y regardant mieux, une écriture y était inscrite… Enfin, Antoine allait enfin savoir quelle serait son avenir, une excitation extrême se lisait sur leur yeux. Finalement les écrits devinrent nettes et précises.

L’ÉCHIQUIER


Voici ce qui était écrit. Mais qu’est ce que cela voulait t-il bien dire au juste ? Un instant passa, laissant les deux êtres dans l’incompréhension. Puis plusieurs lettres apparurent de nul part s’incrustant sur le marbre formant des mots qui à leur tour formèrent des phrases pour enfin former un récit, une légende. Celle d’un prénommait Yam et d’un autre prénommait Kzaaht…


« De tous temps, l’homme à su montrer et démontrer que la seule chose qui détermine ou non sa puissance se trouve sur les champs de batailles. Lorsque les actes ne suivent pas aux paroles, celles-ci ne valent rein. Triomphe, prospérité et gloire sont les mots d’ordre qui incitent un seigneur de le faire. Yam et Kzaaht font parti de ces seigneurs, voici leur histoire :

Étant depuis tout jeunes des adeptes des échecs, Kzaaht et Yam jouaient aussi souvent qu'ils le pouvaient à ce noble jeu.

Ils s'inventaient des stratégies offensives et défensives plus perfectionnées les unes des autres. Et chacun avait choisi sa stratégie préférée. Yam préférait la défensive quant à Kzaaht, lui, préférait l'offensive.

Plus ils grandissaient et plus leur amour pour les stratégies d'une armée contre une autre augmentait. Cela devint presque une drogue, une folie !

Eh oui, cet amour pour les échecs se concrétisa le jour ou ils virent devant eux, deux armées s'affronter, dans les tripes et le sang, les soldats n'ayant aucunes pitié se frappaient et se donnaient des coups de haches et d'épées avec fougue et courage.

Étant perplexes quant aux stratégies utilisées par chacun des chefs des deux armées, ils restèrent là et observèrent la bataille, sans dire mot. De temps à autres l'un des deux jeunes faisait une remarque sur la stratégie utilisée par un des camps, soit pour s'en moquer soit pour la noter. Yam commençait a s'impatienter mais lorsque le groupe dominant fit venir ses catapultes, il se rassit, un petit sourire mesquin aux lèvres. Il désirait connaître la tournure des choses, les dominés avaient-ils un plan de secours derrière la tête ? La réponse fut oui car une meute de loups géants arriva de l'ouest en courant sur l'armée adverse, quelques trolls apparurent de l'est et quelques centaines de raideurs sortirent de la forêt non loin du carnage ! D'un simple réflexes de survie, les deux amis se cachèrent derrière des rochers pour ne pas se faire voir des trolls ! Une fois ces monstres passés, il reprirent leur place, s'assirent et admirèrent la fin de la bataille.

Le côté des loups prirent le dessus, puis tua tout survivants à l'assaut. Les deux amis furent estomaqué par cet stratégie adopté, celle-ci avait permis de changer l'issus final de cette bataille.

L'armée se dirigea vers le village des vaincus, à quelques lieues de là.
Les trolls détruirent tout sur leur passage, enfants, femmes, moines et autres innocents de la guerre. Personne ne pouvaient les aider !
Personne à part peut être, Dieu ! Mais Dieu avait peut être peur de cette armée ! Voilà une raison qu'il n'y eu aucun survivants !

C'est après avoir observer cette bataille qu'ils décidèrent d'allier leur deux royaumes pour ensuite recruter d'autres royaumes, et ainsi de suite... Pour ensuite en espoir de créer une alliance, formée de pièces d'échiquier, et ayant une stratégie propre à leur jeu favori.

C'est comme cela qu'ils créèrent l'Échiquier. »


Antoine relut à plusieurs reprises le texte, les phrases fusaient dans sa tête, il les analysait, les décortiquait du mieux qu’il pouvait, il les relisait sans cesse comme absorbé dans cette histoire sans pouvoir s’en détacher. Heinek en fit de même. Finalement, le vieux sage avez eu raison, Antoine et Heinek venaient de comprendre se qui, dans les mois, non les semaines qui suivraient leur arriveraient ainsi que les choses auxquelles ils seraient confrontés à faire…

Écoutes, je pense que nous devons faire perdurer la quête de ces deux hommes, je sens qu’un destin aussi glorieux que belliqueux nous attend mon ami…

Tu crois ? On va vraiment nous prendre pour des fous ! Un nain et un elfe qui main dans la main créent une alliance… C’est sûr qu’on va vraiment passé pour des désaxés de la cervelle !
Dit le nain avec une nette pointe d’humour dans sa phrase. Cependant, cette idée me paraît assez originale, oui, elle me plaît…

Et c’est ainsi qu’Antoine et Heinek créèrent l’alliance qu’est L’Échiquier…







L'histoire n'est pas encore terminé, elle ne fait que commencer...
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